Effort, c’est un mot qui revient à toutes les sauces et que chacun interprète à sa sauce.
J’aime ce mot là, j’en ai même fait un pseudo qui vagabonde parfois sur la toile, incognito, dans un idiome d’ailleurs.
Ici, sur ces pages virtuelles, il apparait souvent comme dans ce billet et tant d’autres et reste cependant remarquablement invisible parmi les étiquettes.
Ce matin, j’ai décidé de faire l’effort de laisser ma pirogue au sec alors que tout me dit d’aller ramer, en particulier le maigre temps qui reste à passer ici.
D’autres jours, je décidais de faire l’effort de la sortir alors même que rien ne me poussait à y aller, ni le vent, ni les vagues, ni l’urgence ni même le prix de location acquitté.
Inévitablement, il fallait que je creuse ce paradoxe et cette histoire d’effort consenti.
Simple effort.
Anecdotique effort.
Formidable effort.
Pour nous tous qui habitons ce monde du moindre effort tant vanté.