Désespérances en vrac

En marge 14

 

Autant dire que l’écriture est impossible en ce moment.

Et puis, j’attends.
A nouveau.
Et c’est une attente joyeuse qui s’agrandit chaque jour et me dit qu’il sera peut-être l’heure bientôt et qu’il est inutile de rester devant l’ordinateur pour le moment.

Impossible donc de devenir Lorie ou Annette, le temps coule trop vite.

Une attente, un voyage, un autre voyage : la vie bouge alors que j’aurais besoin d’un peu de calme. Ces jours-ci, je parle même de désespérance. J’en vois qui sourient…
J’envisage de m’isoler pour l’ultime traversée.

Et puis, il y a ces histoires d’images…
Et, tandis que je me souviens de celles qu’ils trouvent bonnes, de ce moment précis où la caméra devait s’arrêter et où j’ai entendu « non, non, il faut continuer », je ne peux m’empêcher de penser que le meilleur est à venir, même si nous l’ignorons encore…

La suite viendra et nous serons les acteurs, mais personne ne peut dire ce qu’elle sera!
En ce moment, je me contente de couper du bois au jardin, de relire les autres, de bouquiner un peu et d’attendre que plus loin m’appelle.
C’est déjà un super programme, non ?

Et ce billet est laborieux, complètement à la marge de celui que je voulais poser! Pfffffff

Désespérance, vous dis-je!